LA VIE DE FAMILLE EST UNE SOURCE INTARISSABLE DE BONHEUR !

Dès que la souffrance des tracas diverses du quotidien prend fin !

  • Quand les pleurs de votre Baby cessent après lui avoir mis le bib dans la bouche,
  • Quand votre collégien préféré arrive à faire enfin décoller sa moyenne en math
  • Quand lorsqu’un dimanche après-midi, la belle-mère s’en va enfin et que le canapé se transforme en séance de calinouthérapie !

La souffrance existe et elle a une fin, c’est factuel ! Mais l’idée que nous pouvons choisir d’être heureux au milieu d’un moment difficile est moins facile.

Il suffit d’un changement de perspective pour atténuer la souffrance ….

  • Vous est-il arrivé déjà de rire d’une situation a priori douloureuse ?

Comme par exemple, lorsqu’il vous est arrivé de trébucher, même si vous vous étiez fait mal, la situation était suffisamment ridicule pour en rire et atténuer la souffrance.

C’est parce que vous aviez changé de perspective, de point de vue que vous avez pu rire de la situation !

Donc même si vous ne pouvez pas modifier une situation difficile, vous pouvez choisir votre réponse ! 

La souffrance peut être causée de plein de façon différente, mais le bonheur est aussi à notre portée simplement en changeant notre regard sur l’évènement, en changeant de perspective !

Essayez, vous verrez cela change la vie 😉

Il ne veut pas faire ses devoirs = c’est un temps de câlin supplémentaire

Vous avez tout fait et il continue à pleurer= il chante avec vous !

Écouteurs dans les oreilles, chantez et dansez pour le bercer

Marathon des sports en voiture, attendre, courir = lire, méditez, chantez …

Trop fatigué, vous êtes au bout de votre vie ?

Besoin d’en parler ?

Confidences d’une ex-fumeuse

Confidences d’une ex-fumeuse !

Je me souviens de ma première cigarette, je venais d’avoir 17  ans. Ma mère, mon « boy friend » et beaucoup à la sortie du lycée fumaient. Par mimétisme, par « amour », pour me donner une contenance et une importance aux yeux des autres, j’ai commencé à fumer !

Un âge où l’on se sent si sur de soi, où le regard des autres nous importe peu, où nous avons fini de nous construire. Confiance en nous  et amour de soi sont nos priorités ! 😉

La cigarette représente à ce moment là un geste qui rassure, qui sauve et qui me comble dans beaucoup de situations. La  dépendance physique à la nicotine viendra compléter  la dépendance comportementale déjà bien installée…

La vie s’enchaîne, la cigarette prend une place prépondérante dans mon quotidien. Je l’organise  autours et/ou avec cette chère amie ! Je lui consacre un temps pour aller la chercher en magasin, un budget pour l’entretenir, une excuse pour la sortir et prendre l’air même quand je suis malade, pas envie ou fatiguée. Elle m’accompagne partout, je ne fais jamais rien sans elle.  Je m’occupe d’elle et de toute sa famille et en contre partie elle s’engage SOIT DISANT à me soutenir en cas de problème, de me donner de la contenance, de calmer mes angoisses, de me tenir compagnie quand je ne dors pas et quand je sors.

MA cigarette a crée une sacrée communauté dans laquelle on est accueilli le jour où l’on s’amourache de l’une d’entre elle. On fait partie d’un groupe !

Celui du « café, clope du matin ou du midi », « je stresse, il m’en faut une » ou celui du « t’as pas une clope ? » ou encore « celui qui en fumera le plus lors des soirées bien arrosées ». La communauté est grande et les groupes ne manquent pas. Malgré tout, sa présence finie par être oppressante, toxique, coûteuse, je pense souvent à m’en séparer mais « je l’aime, moi! ». Que vais je faire sans elle ?

Je pourrais vous dire de ne retenir que celles qui nous soulagent lors d’une émotion forte et désagréable, celles qui nous fait chavirer après l’amour, celles qui nous rassurent seule face à l’inconnu, celles qui nous tiennent compagnie lorsque l’on attend, celles qui nous excusent pour prendre l’air ou faire une pause, celles qui nous accompagnent dans les moments de liesse…

Mais si je regarde les yeux dans les yeux ma relation avec MA cigarette, je ne compte plus les maux de tête et les nausées les lendemains de fête sans même avoir bu de l’alcool, l’haleine de « cendrier froid » au petit matin et plus tard dans la journée AUSSI, l’odeur sur les vêtements que nous les fumeurs ne sentons plus vraiment mais qui empeste que l’on veuille ou non, les heures passées dehors qu’il pleuve qu’il vente ou que les températures soient négatives, ces oppressions respiratoires, ces toux répétitives, ces exclusions sociales,  le jaune nicotine qui s’imprègne sur la peau et les dents, la fatigue …etc

A moins d’être enfermer dans une grotte coupée du monde et des infos sur le danger du tabac, régulièrement je me dis  :

 » – Je le sais, je le sens, il le faut, je dois arrêter ! »

Lorsque j’ai voulu arrêter de fumer pour la première fois, je désirais avant tout dépasser mes limites. Un objectif pas facile mais un défi que je voulais relever pour donner des repères et un sens à ma vie. Je devais avoir 22 ans environ, échec sentimentale, universitaire et sociale et pour rien arranger un taux de cholestérol élevé pour mon âge. J’avais besoin de me prouver et un peu aux autres aussi que je pouvais réussir !

Faire un « cut » et m’occuper de moi pour (re) prendre le contrôle de ma vie. Seule, j’ai entrepris un régime, fait du sport, manger sainement et arrêter de fumer. Le sport intensif a évité  de ressentir les  symptômes physiques du sevrage.  Sans trop de difficulté ni de tentations, j’ai maigri et je n’ai plus touché une cigarette.

Six mois  plus tard, une nouvelle rentrée universitaire, de nouveaux amis, de nouvelles sorties, un boulot et tout le stress qui va avec ont fini par me faire craquer au bout d’un mois et demi !

La deuxième fois a été au moment où mon horloge biologique s’est manifestée. Un peu avant que je sois enceinte, j’ai essayé de ralentir en vue d’arrêter pour être prête et « saine ». Cela a été un supplice pendant plusieurs mois, je n’en avais pas si envie que cela mais je voulais « bien faire » pour mon futur bébé et hors de question de fumer pendant la grossesse. Il était aussi impératif d’arrêter avant pour éviter trop de désagréments au bébé du au sevrage tabagique. Moi passait encore mais ce petit être n’avait rien demandé de toute façon. Le jour où j’ai su que j’étais enceinte, j’ai voulu fêter cela avec une « ptite clope » et à partir de cet instant, je n’ai plus touché une cigarette pendant presque 5 ans.

Sans trop de difficultés grâce aux hormones de grossesse cette fois-ci, je m’étais promis de ne pas reprendre après avoir arrêter si longtemps. Je ne voulais plus revivre les supplices du sevrage et aussi pour ma petite fille.

Le seul inconvénient, c’est que je ne l’ai pas fait vraiment par amour de moi-même mais parce qu’il le fallait… Je n’avais jamais vraiment travaillé sur moi pour m’aimer véritablement.

Et jamais 2 sans 3, à l’annonce de mon divorce, ma vie et mon cœur éclatent. La nocivité de fumer n’a plus aucune importance  ! Le regard que j’avais sur moi était tellement écorné que de (re) fumer est secondaire. Je souffre tellement que l’idée de me faire du mal en recommençant à fumer est totalement dérisoire.  A ce moment la , un peu plus , un peu moins qu’importe ! J’ai besoin d’aide alors mon amie la cigarette a accepté de me reprendre. Et UNE cigarette pour un ex-fumeur c’est celle de trop ! Cette rechute aura duré 5 ans.

Pour finir, je peux vous dire qu’en tant qu’ex fumeuse l’étape la plus longue et difficile a été de construire ma motivation, de m’aimer suffisamment pour m’offrir ce cadeau ! J’ai chuté et rechuté. J’ai d’abord modifié certaines choses pour que la situation change. Et l’arrêt est devenu une évidence et un cadeau que je m’offre chaque jour et plus comme une souffrance que je m’inflige à moi même. Ensuite, grâce à l’auriculoréflexologie, j’ai pu éviter tous les désagréments physiques liés au sevrage tabagique.

Comme moi, vous pouvez le faire ! Néanmoins je reste une « ex » fumeuse et pas une « non » fumeuse. Je ne souhaite pas rouvrir le tiroir mais je ne peux pas dire qu’il n’existe pas. Je ne suis pas à l’abri d’un coup dur et de l’idée d’en rallumer une petite éventuellement pour voir ! D’autant que le chemin neuronal existe toujours et mon cerveau l’a emprunté pendant longtemps et dans de nombreuses situations donc il peut proposer de LE (re) prendre . D’où la nécessité de consacrer du temps à la première étape est cruciale. Ceux sont les bases de ma motivation solides qui me permettent de rester vigilante quand il le faut.

N’hésitez pas à  me contacter:  

Elodie FACON
Sophrologue Caycédien, Auriculoréflexologue
06.24.49.61.83

Choisissez votre devise !

choisissez-votre-devise-2Notre Corps n’est pas une machine. Or, nous le considérons souvent bien moins que notre voiture, dans laquelle nous pensons à  rajouter de l’huile et de l’essence pour qu’elle fonctionne. Nous exigeons souvent de notre corps qu’il continue à  fonctionner alors que nous lui donnons pas le minimum vital pour qu’il reste zen et en bonne santé. Choisissez votre devise pour avancer dans votre vie personnelle et professionnelle. Elle vous  guidera chaque jour en respectant le plus possible les règles de vie que vous vous serez fixés. Voici quelques exemples de devise que je m’efforce de suivre à  chaque instant :

« La paix vient du dedans, ne la cherchez pas au-dehors » (Bouddha)

« Le corps et le mental ne font pas deux, mais un. » (D.T.Suzuki, maître zen)

« Trop tirer rompt la corde. »

« Négligez son corps pour un autre avantage dans la vie est la pire des folies. »

  (Arthur Schopenhauer)

« N’ignorez pas ce qui est proche lorsque vous visez loin. » (Euripide)

« Vouloir, c’est pouvoir. Il faut vouloir ce qu’on ne peut empêcher. »

« Sourire trois fois tous les jours rend inutile tout médicament. » (Proverbe chinois)

« S’estimer est un péché moins vil que se détester. » (William Shakespeare)

« Va dans le sens de tout ce qui te paraît comme une évidence. »

Sevrage tabagique : 10 astuces d’une ex-fumeuse pour se sentir bien !

Vous avez pris votre décision : Demain, vous arrêtez ! Néanmoins vous craignez tous les effets secondaires du sevrage, vous doutez de vos capacités à tenir. Vous avez peut être cette pensée à cause d’échecs répétés? Vous vous pensez faible ou stupide de ne pas avoir réussi à arrêter de fumer malgré l’impact négatif du tabac sur votre santé? Si vous avez répondu « oui », ces pensées sont nuisibles pour vous et, en plus, sans fondements!

  1. Vous vous attaquez à une drogue qui crée une dépendance très puissante. Ce n’est pas rien !
  1. La volonté seule ne suffit pas pour réussir à arrêter de fumer. Votre volonté doit s’appuyer sur un projet qui vous tient vraiment à cœur. Posez-vous donc la question suivante : « Est-ce que cesser de fumer est vraiment important pour moi? ». Si la réponse est « oui », vous avez la base de votre motivation. Il ne vous reste qu’à la renforcer.

Votre motivation sera plus grande si :

  1. vous êtes convaincu que les avantages d’arrêter de fumer dépassent les inconvénients que vous pourriez rencontrer.
  2. vous avez conscience que vous pouvez utiliser des moyens efficaces pour faire face aux difficultés que vous risquez de rencontrer.

La sophrologie pourra vous aider; avant, pendant ou encore après l’arrêt du tabac; afin de renforcer votre motivation. Il vous aidera à gérer l’ambivalence entre l’envie d’arrêter de fumer et la partie de vous même qui ne le veut pas vraiment. cette partie que vous ne voulez pas vous avouer ni admettre. Les causes du tabagisme sont multiples. Tantôt anxiolytique, tantôt sédatif ou bien même par pure plaisir, toutes les situations sont avant tout un alibi pour soi même. Déterminer aussi vos besoins pour mieux renforcer votre motivation. Être aimé, se sentir en sécurité, satisfaire vos sens ou vos aspirations, se percevoir comme unique et important à vos propres yeux.

Rappelez-vous que :

  • les inconvénients d’arrêter de fumer ne durent pas alors que les avantages dureront toute votre vie.
  • l’aide ou les avantages apparents que vous apporte le tabac viennent avec une foule de conséquences négatives pour votre santé physique, mentale et économique. Les mêmes avantages peuvent toutefois être obtenus par une foule de moyens simples ayant des retombées positives sur tous les aspects de votre vie.

Voici quelques astuces pour vous aider à supporter l’état de manque. Une meilleure compréhension des possibles symptômes du manque vous permettra de mieux appréhender vos réactions en adaptant votre attitude. Néanmoins si vous décidez de vivre sans aide, le temps du sevrage, vous trouverez ci-après le temps moyen que dure chaque symptôme possible.

Les trucs et astuces d’une ex fumeuse

Étourdissement : 1 à 2 jours
Compréhension : Le corps reçoit une quantité accrue d’oxygène dans le sang, ce qui provoque un état similaire à de l’hyperventilation.

Action :Prenez quelques respirations lentes mais profondes (comme des bâillements) et étirez-vous.

Pression au niveau des yeux et de la tête : variable
Compréhension : L’organisme est en manque de nicotine, ça crée de la tension.

Action : Détendez-vous. De grandes inspirations, des étirements ou des massages de tête font vraiment du bien.

Fatigue : 2 à 4 semaines
Compréhension : Le corps est en période de désintoxication et d’adaptation au manque de nicotine qui servait de stimulant. Chaque cigarette grillait 25 mg de vitamine C.

Action : Dormez suffisamment pour récupérer, bougez, mangez des aliments sains et buvez beaucoup d’eau. Une cure de ginseng rechargera vos batteries.

 

Insomnie : jusqu’à 3 semaines
Compréhension : Dans les premiers temps, certains ex-fumeurs connaissent un sommeil perturbé.

Action :Évitez de prendre des excitants (café,coca …), allez vous promener dehors après le souper. Massez tranquillement le plexus solaire avec 1 goutte d’huile essentielle de marjolaine des jardins le soir au coucher.

La sophrologie permet aux insomniaques de retrouver confiance en leur capacité à  lâcher prise et à  positiver. Plus détendus, moins anxieux, ils sont ainsi plus à  même d’accueillir les premiers signes d’endormissement

Toux : environ 3 à 4 semaines
Compréhension : Le système respiratoire recommence à faire son travail d’évacuation à l’aide des cils vibratiles tapissant les bronches. Ces derniers étaient paralysés par les différents constituants de la fumée de cigarette.

Action : À ce niveau, la nature fait son travail par elle-même, votre corps possèdent toute les capacités pour cela.  Faire de l’activité physique, en vous respectant, vous nourrir d’aliments sains et boire beaucoup d’eau contribueront positivement à l’œuvre de la nature. Vous pouvez aussi poser une goutte dans une cc de miel ou sur un petit sucre 4 fois par jour de l’huile essentielle de cyprès de Provence.

Constipation : 3 à 4 semaines
Compréhension : Le corps est habitué à la stimulation intestinale causée par la nicotine. Il cherche à retrouver ses fonctions naturelles.

Action : Consommez de l’eau, des fruits, des légumes crus et des produits de grains entiers si vous le pouvez (à cause des fibres). L’activité physique aide beaucoup aussi.

La réflexologie plantaire peut vous aider également en dynamisant l’organisme, harmonisant les fonctions vitales, libérant le stress et les tensions nerveuses, soulageant les tensions du dos et autres douleurs. Elle améliore la circulation sanguine, apporte détente et relaxation profonde, active le système lymphatique et décontracte les muscles.

Faim : quelques semaines
Compréhension : C’est normal et c’est bon signe! Vos sens du goût et de l’odorat renaissent et favorisent ainsi l’appétit et la joie de manger! Le signal de la faim redevient normal suite au rétablissement du métabolisme des sucres perturbé par le tabagisme. Un fumeur brûle 200 à 300 calories de plus qu’un non fumeur. Même si l’apport calorique est égal, le poids risque de fluctuer pendant un temps.

Action : Vérifiez si vous avez vraiment faim ou si c’est l’envie d’avoir quelque chose dans la bouche. Profitez en pour (ré) introduire des aliments sains pour la santé et peu calorifiques. N’hésitez pas à vous (re) mettre au sport afin de brûler les calories dont la cigarette se chargeait de brûler. Marcher à un pas soutenu 30 minutes par jour suffit. Une production d’endorphine vous permettra également de diminuer les envies de fumer ainsi que la nervosité lié au sevrage.

Goût pour des aliments sucrés :  quelques semaines
Compréhension : Comme mentionné précédemment, le tabagisme a perturbé le métabolisme des sucres. De plus, le goût sucré est générateur de plaisir (c’est une caractéristique essentielle à la survie de l’être humain puisque le sucre constitue la source unique d’énergie pour notre cerveau). Le sucre devient donc une source de gratification pouvant remplacer facilement et rapidement la gratification que vous apportait la cigarette.

Action : Si ça vous arrive, essayez de prendre une collation riche en protéines naturelles (noix, amandes, noisettes …ETC). Des repas qui contiennent des aliments riches en hydrates de carbone complexes (céréales, pâtes à grains entiers) peuvent aussi réduire vos envies de sucreries. Bien sur vous éviterez les plats préparés ainsi que d’agrémenter à foison vos hydrates de carbone de sauce grasse et protéiné 😉

Prendre des fruits ou des desserts à faible indice calorique est aussi une autre stratégie gagnante.

Envie obsessionnelle de fumer : 2 semaines et beaucoup plus suivant les cas.
Compréhension : Peut survenir pour toutes sortes de raisons, production d’endorphines pas assez suffisante encore, situations de vie déplaisantes, petite voix intérieure négative qui fait douter et avoir peur sans motifs valables, etc.

Action : Réagissez rapidement,  la Sophrologie vous entraînent à accepter vos pensées, mêmes les plus négatives, mais sans les suivre! Rire et bouger représentent également des moyens efficaces de passer à travers des envies obsessionnelles sans fumer. L’auriculoréflexologie permettra d’activer la production d’endorphine en stimulant le point réflexe à cet effet et ainsi réduire considérablement voir supprimer ces envies obsessionnelles de fumer.

Irritabilité : variable
Compréhension : Privé de sa drogue, le corps réagit par un stress de privation qui peut provoquer l’impatience, l’irritabilité, la colère.

Action : Répétez-vous que c’est normal et que ça prouve que vous êtes en train de retrouver votre liberté. Faites des activités que vous aimez et riez le plus souvent possible.

L’auriculoréfléxologie pour le sevrage tabagique permettra de diminuer fortement ou d’éviter les réactions de fatigue, insomnie, toux, constipation, faim, goût pour les aliments sucrés, envie obsessionnelle de fumer, irritabilité en une seule séance ! 

Rassurez-vous! Ces désagréments sont normaux et sont un signe positif. Ils signifient que votre corps et votre esprit s’adaptent au changement, au retour au « naturel ». Les symptômes varient en intensité et en durée d’une personne à l’autre, selon le nombre d’années de tabagisme, la quantité de cigarettes fumées et les capacités du corps à se rétablir. Ils sont toutefois temporaires alors que les bienfaits d’arrêter de fumer augmentent tout au long de votre vie!

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Elodie FACON
Sophrologue Caycédien
06.24.49.61.83

 

Comment arrêter de fumer avec succès (même si vous avez déjà essayé)

Le terme d’addiction ou conduite addictive trouve son origine dans le droit romain du Moyen-Age. Il signifie : « s’infliger une contrainte par corps pour dette ». Tout le problème est de savoir quelle est la nature de la dette.

 

Analyse de vos précédentes rechutes

Je vous propose de vous poser les questions suivantes :

  • A quelle occasion et dans quel contexte avez-vous rechuté ?
  • Avec du recul, qu’auriez-vous pu faire d’autre ?
  • Comment auriez-vous pu gérer autrement la situation ?
  • Quelle conclusion en tirez-vous ?

Ce n’est pas la cause immédiate qui est source de la rechute, mais plutôt une succession de causes d’où l’importance de réussir la première étape du sevrage tabagique : construire et développer sa motivation.

Le risque existe par exemple en cas de pression exercée, non seulement au travail, mais aussi bien par le collègue doutant de vos compétences à résister au stress. Lors de la prochaine tentative d’arrêt, vous aurez préparé et résolu le problème « Comment faire face à la pression et garder confiance grâce à la Sophrologie » afin de vous engager vers la réussite.

Ainsi, en repérant par anticipation les situations à risque, en les évaluant et en trouvant comment les affronter, vous prévenez sérieusement la rechute.

Comment connaître son type de dépendance au tabac ?

Objectif : Repérer ce qui vous accroche au tabac afin de trouver des solutions alternatives.

Indiquez dans le tableau le score de 0 (tout à fait faux) à 8 (tout à fait vrai) que vous attribuez à chaque item.

Toutes les raisons pour lesquelles le score est supérieur ou égal à 5 sur 8 traduisent les difficultés rencontrées ou pouvant être rencontrées lors du sevrage. Il est important pour vous de trouver d’autres façons de contourner ou de résoudre ces « bonnes raisons » de fumer. 

Cependant, s’il y a chute ou rechute, pas de panique ni de doutes à avoir sur vos compétences. Ne pensez pas de façon négative : pas de fatalité, pas de défaitisme, ni de culpabilité, mais tâchez de bien analyser la situation afin qu’elle ne se reproduise pas.

Le travail le plus dur, comme je disais dans le premier et deuxième article, est celui de la motivation. Ensuite pour vivre au mieux les effets physiques secondaires de l’arrêt du tabac, vous pouvez avoir recourt à l’auriculoréflexologie. En cas de rechute, il faudra effectivement réitérer la séance puisque le corps sera de nouveau déséquilibré par la nicotine.

Le tabagisme est un conditionnement stocké dans votre mémoire à long terme. Initié par imitation, installé par réflexes, et maintenu grâce aux bénéfices ressentis et aux attentes de ceux-ci, ce cadre rigide empêche de rechercher d’autres sources de satisfaction et d’adaptation aux situations imprévues. Tout l’enjeu sera d’activer le système de récompense équivalent à celui du tabac mais avec d’autres apports.

Aimez vous, pensez à vous, prenez soin de vous, faites vous plaisir !

De ce fait, arrêter de fumer s’accompagne de la mise en fonction de nouveaux comportements à s’inscrire de la même manière dans la mémoire. Regardons celle-ci comme une commode dotée d’une kyrielle de tiroirs : chacun contient un conditionnement qui se réactive dés lors que j’ouvre le tiroir. Voilà pourquoi rechuter est aussi simple ! Mais si je n’éprouve pas le besoin de ce comportement, le tiroir reste fermé et nul besoin de clé. A partir du moment où je comprends qu’il est de mon intérêt de ne pas rouvrir le tiroir, ce dernier reste clos.

 

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Sophrologue Caycédien, Auriculoréflexologue
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4 gestes pour soulager les pieds en compote !

Après une grosse journée de travail, surtout si l’on reste longtemps debout, une bonne randonnée, ou une après-midi de shopping, nos pieds nous font souffrir. Si l’on pense à  se reposer après l’effort, on ne pense pas toujours à  les chouchouter !

Pourtant, lorsque l’on a les pieds reposés, c’est tout notre corps qui se sent mieux ! C’est à  dire l’importance de cette partie de notre corps que l’on néglige un peu trop souvent.

Alors pour y remédier, je vous donne mes petites astuces pour des pieds dynamiques, tonifiés et revigorés :

1er geste : De l’eau pour soulager les pieds endoloris !

L’hydrothérapie est un excellent remède pour apaiser des pieds meurtris par une journée trop chargée. Plongez vos pieds dans une bassine d’eau froide quelques minutes, puis laissez-les tremper dans une bassine d’eau chaude. Répétée plusieurs fois, cette opération stimulera votre circulation sanguine et atténuera la douleur.

2ème geste : Des huiles essentielles pour enrayer le mal de pieds

Faciles à  utiliser, les huiles essentielles ont de multiples propriétés. Ajoutez quelques gouttes d’huile essentielle de menthe poivrée, d’eucalyptus ou de romarin dans une bassine d’eau chaude et laissez vos pieds nager au gré de leurs envies. Vous risquez d’être surpris par le bien-être ressenti !

3ème geste : Le massage, une arme infaillible contre le mal de pieds

Vous l’avez sûrement déjà  constaté : rien de tel qu’un massage pour évacuer les tensions ! Lorsque vos pieds vous font souffrir, n’hésitez pas à exercer une légère pression sous la plante et au niveau des orteils. Vous devriez ressentir un mieux-être immédiat !

Différence entre réflexologie thérapeutique et la réflexologie « détente » ?

Si vous désirez vous faire masser la plante des pieds sans s’arrêter sur une zone précise, en insistant seulement sur une zone tendue, cela vous procurera une détente générale. Les instituts de beauté ou spa pratiquent les « modelage » bien être. On peut aussi le réaliser chez soi comme indiquer ci-dessus.

zones reflexesSachant que les pieds sont la représentation de votre corps, chaque zone réflexe correspond à  un organe ou à  une partie du corps et nous avons 7200 points réflexes ! Un réflexologue s’attardera sur les zones réflexes des organes douloureux en réduisant les cristaux d’urée logés dans ces zones. Bien plus qu’une « détente » générale ponctuelle, vous retrouverez un équilibre énergétique, sanguin et lymphatique. Les déséquilibres chroniques ainsi que les douleurs pourront être soulager. Même si plusieurs séances peuvent être nécessaires pour retrouver un équilibre totale du corps, vous retrouverez santé et bien-être sur le long terme !

4ème geste : Marcher pieds nus pour prévenir la douleur !

Trop souvent prisonniers de nos chaussures, les pieds ont besoin de respirer ! Marcher pieds nus régulièrement permet de prévenir les problèmes d’articulation et de préserver l’équilibre naturel du corps. Alors, pourquoi s’en priver ?

Que ce soit pour prévenir les maux du quotidien, améliorer la circulation de l’énergie ou simplement se détendre, ce sont ces zones réflexes qu’il faut travailler. D’ailleurs, si vous faites rouler une balle de tennis sous vos pieds, vous verrez immédiatement le bien-être que cela procure.

Pratiquer le massage plantaire avec une balle de tennis

Cet exercice vous permettra de revigorer, stimuler la circulation sanguine, harmoniser le flux énergétique, augmenter la capacité perceptive des pieds et est en outre très recommandé dans certains problèmes podologiques (comme les pieds plats ou les déformations de la voûte plantaire).

On connait tous le sentiment de douleur aux pieds après être resté debout toute la journée, après avoir pratiqué un sport violent ou après avoir dansé toute la nuit. Ces quelques gestes vous permettront de vous soulager rapidement. Néanmoins en dehors de ces situations quotidiennes, avoir mal aux pieds est un message que le corps nous envois et que nous devons écouter.

Pour la médecine chinoise, si une zone fait mal, cela traduit un dysfonctionnement de l’organe associé. La zone est engorgée de déchets déposés sur les terminaisons nerveuses. La réflexologie plantaire va permettre de «nettoyer» et rétablir l’équilibre de l’organe malade. Elle ne peut en aucun cas aggraver l’état d’un malade. Elle ne fait que mettre en évidence un état de déséquilibre. Si le déséquilibre est profond et marqué, la réflexologie peut effectivement le «réactiver». En général, les bienfaits se font sentir dès le troisième ou le quatrième rendez-vous.

Ne négligez pas le message que vous envois votre corps, prenez soin de vous, LA personne la plus importante c est vous-même !

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Comment réussir son sevrage tabagique sans devenir fou !

Le tabac c’est tabou ! On en viendra tous à bout.

Si l’on veut que les choses changent, il faut faire des choses que l’on n’a jamais faites. Les habitudes, comme on le sait, ont la vie dure. Mais si vous arrêtez POUR et non CONTRE quelque chose, alors l’étape de la motivation au sevrage tabagique est réussi et représente une base solide pour affronter tout les effets secondaires liés à l’arrêt du tabac. Maintenant que vous êtes motivé, l’heure de la décision a sonné !

Nous sommes avant tout dépendant au plaisir !

La dopamine est apparue très tôt au cours de l’évolution et participe à de nombreuses fonctions essentielles à la survie de l’organisme comme la motricité, l’attention, la motivation, l’apprentissage et la mémorisation. Mais surtout, la dopamine est un élément clé dans le repérage de récompenses naturelles pour l’organisme. Ces stimulus naturels comme l’eau ou la nourriture provoquent des comportements d’approche d’un individu. La dopamine participe aussi à la mémorisation (inconsciente) des indices associés à ces récompenses.

Il est désormais établi que tous les produits qui déclenchent la dépendance chez l’homme (sauf les benzodiazépines) augmentent la libération d’un neuromédiateur, la dopamine, dans une zone précise du cerveau.

  • Sur le plan physiopathologique :

L’empreinte au niveau anatomo-physiologique que laisse ces conduites addictives modifie en profondeur le système biologique et entraîne un cercle vicieux et répétitif. Un système de récompense du cerveau a été décrit s’installant et générant la dépendance comportementale. Il est donc normal qu’à partir du moment où nous n’apportons plus d’apport nicotinique, notre cerveau perdant ses repères habituels cherchent à compenser le manque par un goût pour des aliments sucrés par exemple afin de reproduire le même effet que la cigarette. En manque, il se peut également que l’envie obsessionnelle de fumer ne nous quitte pas.

Motivé, l’auriculoréfléxologie agira directement sur le système biologique perturbé afin de vous aider à gérer sereinement et plus rapidement les désagréments du sevrage tabagique.

  • Sur le plan comportemental :

L’attitude répétitive vient neutraliser un état de tension interne qu’elle est censée neutraliser. Nous comprenons immédiatement l’intérêt de la Sophrologie dans le soulagement de la tension interne. La Sophrologie agira sur les couches profondes, biologiques et mentales de la conscience ce qui permettra un traitement en profondeur.

Pour toute les personnes qui ont déjà essayé d’arrêter, ils savent que trop bien les effets, pouvant être très désagréables, du sevrage tabagique. Il est donc normal de craindre de revivre cet état. Ayant partager largement les méfaits que vivent les abstinents nicotiniques, la rumeur a engendré les freins que tout fumeur opposent à l’arrêt du tabac.

A chaque difficulté, une solution ! 

Je crains les symptômes de sevrage ?

Arrêter de fumer entraîne des symptômes physiques et psychologiques désagréables.

Rassurez-vous! Ces désagréments sont normaux et sont un signe positif. Ils signifient que votre corps et votre esprit s’adaptent au changement, au retour au « naturel ». Les symptômes varient en intensité et en durée d’une personne à l’autre, selon le nombre d’années de tabagisme, la quantité de cigarettes fumées et les capacités du corps à se rétablir. Ils sont toutefois temporaires alors que les bienfaits d’arrêter de fumer augmentent tout au long de votre vie!

Vous vous libérerez plus facilement de l’emprise de la nicotine si vous avez une alimentation saine et que vous faites de l’exercice, bouger régulièrement. De plus, si vous cultivez une façon positive d’aborder les événements difficiles et que vous entretenez vos amitiés, vous faciliterez votre passage à une vie sans tabac!

la séance d’auriculoréfléxologie pour le sevrage tabagique permettra de diminuer fortement ou d’éviter les réactions de fatigue, insomnie, toux, constipation, faim, goût pour les aliments sucrés, envie obsessionnelle de fumer, irritabilité.

N’hésitez pas à  me contacter:  

Elodie FACON
Sophrologue Caycédien, Auriculoréflexologue
06.24.49.61.83

 

 

 

 

 

La technique de Barack Obama pour arrêter de fumer !

YES, YOU CAN !

L’étape sur laquelle vous passerez le plus de temps, dans le processus de l’arrêt du tabac, est celle de la construction et du développement de votre MOTIVATION.

En effet, les motivations résultent d’émotions agréables comme d’émotions désagréables.

Il existe 3 types de motivations :

  • Se faire plaisir
  • Faire plaisir aux autres
  • S’occuper de soi

La peur de la maladie ou de la mort n’est pas une vraie motivation. On s’arrête de fumer POUR quelque chose ou quelqu’un et non CONTRE quelque chose.

Vous ne pouvez pas (au sens de la capacité) arrêter de fumer uniquement pour plaire à vos proches ou votre médecin ou encore votre employeur. Si vous ne vous sentez pas impliqué, cela ne fonctionnera pas. nous changeons en premier lieu pour nous, parce que nous en ressentons fondamentalement, viscéralement la nécessité.

VOTRE MOTIVATION ?

Objectif : Distinguer ses motivations afin de les renforcer.

Indiquez dans le tableau le score de 0 (tout à fait faux) à 4 (tout à fait vrai) que vous attribuez à chaque motivation.

Vous obtenez 4 scores : santé, contrôle de soi, bénéfices immédiats, pression social. Additionnez la somme des 5 questions de chaque critère.

Question 1-5-9-13-17 (santé)⇔ motivations internes personnelles
Question 2-6-10-14-18 (contrôle de soi)⇔motivations internes personnelles
Question 3-7-11-15-19 (bénéfice immédiat)⇔motivations externes liées à l’environnement
Question 4-8-12-16-20 (pression social)⇔motivations externes liées à l’environnement

RAPPELEZ VOUS : PLUS LES MOTIVATIONS SONT PERSONNELLES, PLUS LE SEVRAGE SERA RÉUSSI.

Maintenant que vous vous sentez motivé, quelques craintes sur la difficulté du sevrage apparait et freine votre passage à l’acte.

Arrêter de fumer est avant tout un cadeau que l’on se fait à soi-même.

Si bon nombre de désagréments sur le plan comportemental et physiopathologique peuvent intervenir au cours du sevrage tabagique en contre partie les bienfaits se ressentent au bout de 20 min seulement !

CE QU’IL SE PASSE LORSQUE VOUS ARRÊTEZ DE FUMER ?

• En 20 minutes, votre tension artérielle sera ramenée à la normale.
• En 8 heures, le niveau de monoxyde de carbone (un gaz toxique) dans votre sang va diminuer de moitié, et les niveaux d’oxygène seront de retour à la normale.
• En 48 heures, votre risque d’avoir une crise cardiaque aura significativement diminué. Toute la nicotine aura quitté votre corps. Votre sens du goût et l’odorat seront de retour à un niveau normal.
• En 72 heures, vos bronches se détendront, et votre niveau d’énergie va augmenter.
• En 2 semaines, votre circulation sanguine va augmenter, et elle va continuer à s’améliorer durant les 10 prochaines semaines.
• En 3 à 9 mois, les problèmes de respiration se dissiperont, et votre capacité pulmonaire va s’améliorer de 10%.
• En 1 an, votre risque d’avoir une crise cardiaque aura diminué de moitié.
• En 5 ans, votre risque d’avoir un accident vasculaire cérébral devient égal à celui d’un non-fumeur.
• En 10 ans, le risque de cancer des poumons sera équivalent à celui d’un non-fumeur.
• En 15 ans, le risque de crise cardiaque sera égal à celui d’un non-fumeur.

Même si les difficultés vous semblent impossible à surmonter, le jeu en vaux la chandelle, non ?

N’hésitez pas à  me contacter:  

Elodie FACON
Sophrologue Caycédien, Auriculoréflexologue
06.24.49.61.83

Gérer un conflit en deux « coups » de cuillère à  pot !

Que faire pour calmer sa colère ? Nos humeurs nous entraînent parfois trop loin. Nous sommes prêts à  exploser. Que faire pour l’éviter ? Car nous savons bien, exprimer ce que nous ressentons est nécessaire pour notre équilibre, mais exploser ne sert à  rien … Cela agit comme un véritable raz de marée qui nous emporte et détruit tout sur son passage.

Préparez-vous à  gérer votre colère

Lorsqu’un conflit doit éclater, on le sent, car il est depuis longtemps sous-jacent. Vous ruminez d’ailleurs dans votre coin. Pour ne pas encombrer votre tête, et être le plus lucide possible lors de l’affrontement, couchez sur le papier tout ce qui vous vient, sans chercher à  minorer vos reproches. Laissez courir votre agressivité au fil des mots. Décrivez les traits de son caractère ou de son physique qui vous agacent depuis toujours, listez les petites remarques anodines et personnelles qui vous ont mis hors de vous. Puis brûlez votre lettre. Vous ne résoudrez pas forcément le conflit mais ceci vous permettra de prendre soin de vous et de dissocier votre colère subjective, de celle, plus objective et importante.

Respirez un bon coup !

Face à  une dispute qui s’annonce explosive, essayez de ne pas tomber dans la spirale des injonctions qui finiront par blesser l’autre et vous faire mal, reprenez votre respiration en vous concentrant quelques secondes sur votre souffle. Cette petite parenthèse vous aidera à  prendre de la distance avec votre colère et avec celle de votre interlocuteur. Comme si vous décidiez de sortir du sujet qui mobilise toute votre énergie négative pour y revenir plus détendue. Une bonne manière d’éviter le pire !

N’ayez pas de gestes agressifs

Bien entendu, plus vous êtes serein, plus l’autre l’est aussi. Mais on a parfois des gestes agressifs sans vraiment le vouloir. De même que le « tu as fait … » est accusateur alors que « je sens que » traduit en douceur votre pensée, un doigt pointé vers votre interlocuteur peut paraître agressif.

dispute2Pour parler, gardez aussi la bonne distance : si vous êtes à  moins de 50 centimètres du corps de l’autre, vous entrez dans sa sphère énergètique, et il peut se sentir agressé.

Évitez également de croiser les bras lorsque vous parlez, c’est une posture qui traduit la gêne et l’autoprotection. Vous êtes serein, vous maîtrisez donc votre corps ainsi que vos paroles.

Ne faites pas perdre la face à  votre interlocuteur

Si vous devez affrontez quelqu’un, ne le faites jamais devant un public nombreux. C’est le meilleur moyen pour que la confrontation tourne au conflit. Prise à  partie, la personne accusée voudra défendre sa fierté et sera forcément agressive.

Si quelqu’un vous agresse en public, restez calme, mais refusez toute discussion qui ne soit pas dans une pièce, porte fermée. Entraînez doucement la personne vers un lieu plus intime en lui parlant calmement : « Nous allons en discutez, mais pas ici ».

Souriez !

Deux bonnes respirations, en pensant à  bien détendre vos épaules, suivies d’un sourire. C’est l’effet miroir. Si vous souriez, les autres se mettent à  sourire aussi. Si vous dégagez de l’agressivité et froncez les sourcils, les autres vous abordent avec moins de sérénité. C’est le cocktail idéal pour enrayer la colère. Il est en effet difficile de continuer à  se disputer avec une personne qui sourit. Le sourire (le VRAI et pas le narquois) calme la colère.

Il est difficile de s’exprimer avec sérénité quand on est troublé, déçu, frustré ou fâché. Lorsque des émotions négatives nous envahissent, nous perdons momentanément nos sentiments positifs comme la confiance, l’attachement, la compréhension, l’acceptation, l’appréciation et le respect. Dans ces moments-là , malgré les meilleures intensions du monde, le dialogue tourne à  la bataille. Dans le feu de l’action, nous oublions alors comment communiquer d’une manière positive et efficace, pour l’autre comme pour nous-mêmes. Mais si nos sentiments positifs s’absentent ou sont inexistants, dans ce cas, les conflits peuvent se multiplier et dégrader notre vie. Si vous vous rejetez alors vous rejetterez les autres : l’effet miroir. La sophrologie et l’EFT peuvent vous aider à (re) découvrir le meilleur et le calme en vous.

N’hésitez pas à  me contacter: 

Elodie FACON
Sophrologue Caycédien
06.24.49.61.83

Comment arrêter de fumer une fois pour toute !

Arrêter de fumer est une idée qui trotte dans la tête de tous les fumeurs, ou presque.

« Il faut que j’arrête … »

« Allez, dimanche soir c’est la dernière … »

« Je suis nauséeux, j’ai encore trop fumé… »

« Je voudrais bien arrêter, mais … »

Ce « mais » qui empêche de se lancer ou d’affronter de nouveau ou pour la première fois les supplices du sevrage tabagique. Ce mot est synonyme de privation, de frustration,alors que la démarche d’arrêter de fumer est positive : elle ouvre le champs de tout les possibles !

Évidemment, vous connaissez tous les méfaits du tabac sur votre organisme et la dépendance. De bonnes raisons pour arrêter, me direz-vous ! Mais vous appréciez autant de « bonnes raisons » qui, tout en vous rendant dépendant, vous procurent du plaisir, vous donne envie de continuer.

Nos raisons sont cartésiennes, elles nous aident à  atteindre nos objectifs. Au contraire, nos motivations sont émotionnelles et nous encouragent soit à  perpétuer nos conduites (même à  risque), soit à  nous engager dans le changement.

En d’autre terme, sans de réelles motivations, l’arrêt du tabac sera un chemin de croix interminable et semé de nombreuses rechutes.

Mais de multiples ressources, tu possèdes, jeune padawan !

LE TABAC ET VOUS ?

Le tabac et vous, c’est une vieille histoire . Souvenez-vous …

La première fois : avec les autres au collège, au lycée, à la fac ou pendant les vacances, initiée par les pairs, les parents ou un tiers, la cigarette se découvre rarement en solitaire. Cette première bouffée ou « shoot nicotinique », mi-dégoût, mi-plaisir, grisante et enivrante, a entraîné toutes les autres. Le tabagisme a tendance à nous faire suivre un modèle, même si notre but est de s’émanciper de la période adolescente.

A l’âge adulte : soit pour une première fois soit il s’agit d’une rechute, il arrive également que le tabac trouve sa place suite à un évènement fort comme une rencontre, une rupture ou un décès.

Dans tout les cas, le fait de s’infliger tous les méfaits de la cigarette consciemment est intimement lié avec l’image de soi, le respect et l’amour que l’on se porte à soi même. En effet, est ce que vous donneriez une cigarette délibérément à votre bébé ? NON ! Par amour, par protection, pour sa santé,  cette idée est tout bonnement inconcevable. Alors pourquoi vous vous faites autant de mal ?

Si les motivations sont avant tout émotionnelles, il serait intéressant d'(ré) apprendre à accueillir ses émotions et retrouver une meilleure estime de soi.

La sophrologie  pourra vous aider avant, pendant ou encore après l’arrêt du tabac afin de renforcer votre motivation. Il vous aidera à gérer l’ambivalence entre l’envie d’arrêter de fumer et la partie de vous même qui ne le veut pas vraiment. cette partie que vous ne voulez pas vous avouer ni admettre. Les causes du tabagisme sont multiples. Tantôt anxiolytique, tantôt sédatif ou bien même par pure plaisir, toutes les situations sont avant tout un alibi pour soi même. Déterminer aussi vos besoins pour mieux renforcer votre motivation. Être aimé, se sentir en sécurité, satisfaire vos sens ou vos aspirations, se percevoir comme unique et important à vos propres yeux.

Donc la première étape et la plus importante est celle de la motivation.

Elle s’appuie sur 3 grands piliers :

  • avoir envie
  • se sentir capable (compétent)
  • être prêt à s’engager

Gardez bien en tête qu’un âne qui n’a pas soif ne boira jamais, quelles que soient les flatteries ou caresses que vous pourriez lui prodiguer. Nous sommes construit ainsi : tant que nous ne sommes pas convaincus, puis persuadés du bien-fondé du changement, nous demeurons statiques et passifs. Nous aurons beau nous battre, à la manière de Don Quichote face à ses moulins à vent, nous nous trompons de cible et d’objectif. Dés lors que vous sentez que ce sera bon pour vous à tous les niveaux, psychique comme physique ou social, vous faites vôtre l’idée du changement et la transformez en engagement sérieux; promesse de réussite, de plaisir et de bonheur à la clé.

N’hésitez pas à  me contacter:  

Elodie FACON
Sophrologue Caycédien, Auriculoréflexologue
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